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[La pesée des coqs.05]
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[La pesée des coqs.04]
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[La pesée des coqs.03]
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[La pesée des coqs.02]
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[La pesée des coqs.01]
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Pitt de Sainte Anne, 2012.
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Entrée du Pitt Colonette de Ducos, 2012. [03]
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Entrée du Pitt Colonette de Ducos, 2012. [02]
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Entrée du Pitt Colonette de Ducos, 2012. [01]
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Ecurie de coqs au Lamentin, Elevage 2012.
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Public au Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012. [02]
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Des spectateurs et des coqueleurs fêtent la victoire de leur coq, sur lequel ils ont parie, au Pitt Pont Vert, au Lamentin, Martinique, 2014. [02] Les mises étaient proche de 6000 euros sur ce combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Public au Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012. [01]
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Des spectateurs et des coqueleurs fêtent la victoire de leur coq, sur lequel ils ont parie, au Pitt Pont Vert, au Lamentin, Martinique, 2014. [01] Les mises étaient proche de 6000 euros sur ce combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Séance d'entrainement à l'écurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [04]
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Séance d'entrainement à l'écurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [03]
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Olivier, un coqueleur, avec un de ses coqs de combat, à l'entrainement, dans son écurie, à Sainte Luce, Martinique, 2014. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les coqs de combat sont entrainés, et soignes, au quotidien.
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Deux coqs se battent pendant la séance d'entrainement, à Sainte Luce, Martinique. Les coqs de combat sont entrainés et soignes au quotidien, 2014.
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Vue sur les protections des ergo d'un coq de combat avant la séance d'entrainement, dans l'écurie, à Sainte Luce, Martinique. Les protections évitent le coup fatal, 2014. Les coqs de combat sont entrainés et soignes au quotidien. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme.
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Vue sur les gants de protection des ergo des coqs de combat, avant la séance d'entrainement, à Sainte Luce, Martinique, 2014.
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Séance d'entrainement à l'écurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [02]
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Entrainement de coqs chez un propriétaire au Lamentin, 2012. [02]
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Entrainement de coqs chez un propriétaire au Lamentin, 2012. [01]
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Antoine dans son écurie, entrainant un de ses coqs de combats, au Lamentin, Martinique. Les coqs reçoivent un entrainement, et des soins, au quotidien. 2014
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Séance d'entrainement à l'écurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [01]
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Antoine dans son écurie regarde deux de ses coqs de combat pendant l'entrainement au Lamentin, Martinique, 2014. Les coqs reçoivent un entrainement, et des soins au quotidien. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Ecurie de coqs au Lamentin, 2012. [03]
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Ecurie de coqs au Lamentin, 2012. [02]
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [05]
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [04]
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Elevage de coqs chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012.
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Un coq de combat place à l'extérieur de l'écurie, au soleil, avant son entrainement, au Lamentin, Martinique, 2014. Les entrainements, et les soins des coqs, ont lieu au quotidien. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Ecurie de coqs au Lamentin, Elevage, 2012.
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Elevage de coqs chez un propriétaire au Lamentin, 2012. [02]
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Elevage de coqs chez un propriétaire au Lamentin, 2012. [01]
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Soins et entrainement à l'écurie aux Trois-Îlets, 2012.
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Un coqueleur soutenant son coq, pendant un combat, au Pitt Pont Vert, au Lamentin, Martinique, 2014. Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Pitt Malgré Tout à Saint Pierre, 2012. [03]
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Un spectateur, concentre pendant un combat de coqs, au Pitt Malgré Tout, à Saint Pierre, Martinique, 2014. Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [02]
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[Public du Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2011.01]
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Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2011. [01]
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [06]
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Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012. [01]
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Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [01]
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De nombreux spectateurs regardent un combat de coq, dans l’arène du Pitt Malgré tout, à Saint Pierre, Martinique, 2014. Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Public du Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [03]
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [05]
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Un coqueleur supporte son coq de combat, dans l’arène du Pitt Malgré tout, à Saint Pierre, Martinique, 2014. Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Ecurie de coqs aux Trois-Îlets, 2012. [01]
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Organisation de séance au Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [01]
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [04]
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Début de séance au Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2011.
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Ecurie de coqs au Lamentin, 2012. [01]
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Public du Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [02]
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Deux coqueleurs montrent un de leurs coqs de combat, avant l'entrainement, dans leur écurie, au Lamentin, Martinique, 2014. Les coqs de combat sont entrainés au quotidien. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [03]
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Propriétaire de coqs au Lamentin. Trophées de combats de coqs, 2012.
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Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, vue sur les caloges et l'arène, 2012.
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Pitt Pont Vert du Lamentin, espace de jeu, 2012.
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Vue sur le bar du Pitt Malgré Tout, à Saint Pierre, Martinique, 2014. Les coqueleurs se retrouvent au bar, avant et après les combats. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Pitt Malgré Tout à Saint Pierre, vendeuse de tickets d'entrée, 2012.
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Pitt Pont Vert du Lamentin, vue extérieure, 2012.
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Pitt Central de Sainte-Marie, cages suspendues avec deux coqs prêts pour le prochain combat, 2012.
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Pitt Pont Vert du Lamentin, espace restauration, 2012. [01]
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Pitt Pont Vert du Lamentin, espace réservé pour les soins des coqs après le combat, 2012.
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Pitt Pont Vert du Lamentin, vente de casquettes, 2012.
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Entrée du Pitt Pont Vert du Lamentin, vendeuse de produits pour les coqs, 2012.
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Contrôle des coqs, Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012. [02]
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Contrôle des coqs, Pitt Pont Vert du Lamentin, 2012. [01]
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012
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Fin d'un combat, au Pitt Pont Vert, au Lamentin, Martinique, 2014. La tradition veut que le coqueleur gagnant rende en premier le coq de son adversaire en guise de respect. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Soins des coqs après le combat au Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [01]
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [03]
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [02]
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Entrainement de coqs chez un propriétaire au Lamentin, Pesée avant l'entrainement, 2012.
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Ecurie chez un propriétaire aux Trois-Îlets, 2012. [01]
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Vue sur la Lune, 2013.
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Vue sur l'intérieur d'une écurie de coqs de combat, au Lamentin, Martinique, 2014. Les entrainements, et les soins des coqs, ont lieu au quotidien. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Pitt Malgré Tout à Saint Pierre, 2012. [02]
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Pitt Malgré Tout à Saint Pierre, 2012. [01]
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Public du Pitt Malgré Tout de Saint Pierre, 2012. [01]
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Une coqueleuse tient son coq pendant l'éperonnage, au Pitt Pont Vert, au Lamentin, Martinique, 2014. La pose d'éperon se fait juste avant le combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [02]
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Deux spectateurs, dans les gradins, au Pitt du François, Martinique, 2014. Les mises vont de 300 à 6000 euros sur un combat. La loi du 8 juillet 1964, autorise les combats de coqs dans les localités ou une tradition ininterrompue peut être établie. Tel est le cas de la Martinique. Cette tradition se maintient depuis plusieurs siècles, dans la Caraïbe, et va bien au-delà du simple folklorisme. Les combats ont lieu 4 fois par semaine, dans plusieurs communes du département martiniquais.
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Public du Pitt Agot du François, 2012. [01]
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Les parents de Maryse Condé Les parents de Maryse Condé, Auguste Boucolon et Jeanne Quidal, au Jardin du Luxembourg à Paris.
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Maryse Condé (20 ans) Maryse Condé (20 ans) avec des amies de jeunesse à Pointe-à-Pitre en 1954.
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Maryse Condé avec ses quatre enfants Maryse avec ses quatre enfants, Aïcha, Denis, Leïla et Sylvie, à Conakry en Guinée en 1960.
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Maryse Condé avec ses collègues de Bush House Maryse Condé avec ses collègues de Bush House à Londres en 1967.
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Maryse Condé et Richard Philcox à l'Université de Seattle Maryse Condé et Richard Philcox à l'Université de Seattle aux États-Unis en novembre 1979.
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Maryse Condé sur le Niger Maryse Condé sur le Niger au Mali en 1981.
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Maryse Condé à l'école d'Umlazi Township Maryse Condé à l'école d'Umlazi Township à Durban en Afrique du Sud en 2000.
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Maryse Condé recevant son Doctorat Honoris Causa Maryse Condé recevant son Doctorat Honoris Causa à l'University of West Indies à La Barbade en 2005.
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Maryse Condé recevant l'Ordre du Mérite national Christine Albanel, Ministre de la Culture, remettant à Maryse Condé l'Ordre du Mérite national à Paris en 2007.
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Maryse Condé à Sainte-Rose Maryse Condé à Sainte-Rose en Guadeloupe en janvier 2016.
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Maryse Condé avec Derek Walcott Maryse Condé avec Derek Walcott en Guadeloupe en 1990.
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Maryse Condé avec Tahar Ben Jelloun Maryse Condé avec Tahar Ben Jelloun et la directrice de la Maison Française à Columbia University en décembre 1995.
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Maryse Condé et Simone Schwarz-Bart Maryse Condé et Simone Schwarz-Bart en Guadeloupe en 2015.
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Maryse Condé avec Joël Nankin Maryse Condé avec Joël Nankin à Sainte-Rose en Guadeloupe en janvier 2016.