Saint-Pierre après la catastrophe du 8 mai 1902. Maison où est mort le Professeur Landes qui, la veille au soir, écrivait dans le journal « Les Colonies » : La Montagne Pelée n'offre pas plus de danger pour les habitants de Saint-Pierre que le Vésuve pour ceux de Naples »

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Saint-Pierre après la catastrophe du 8 mai 1902. Maison où est mort le Professeur Landes qui, la veille au soir, écrivait dans le journal « Les Colonies » : La Montagne Pelée n'offre pas plus de danger pour les habitants de Saint-Pierre que le Vésuve pour ceux de Naples »
Page (bibo:locator)
en regard de la page 73
Numéro (bibo:number)
73
Mot-clé libre (dcterms:subject)
Volcans
Eruption
Catastrophes naturelles
Montagne Pelée
Mot-clé Lieu (dcterms:spatial)
fr Saint-Pierre
Antilles
Mot-clé Siècle (dcterms:temporal)
20
Type (dcterms:type)
fr Photographie
Format (dcterms:format)
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Conditions d'utilisation (dcterms:rights)
fr Domaine public
Plateforme source (dcterms:provenance)
Bibliothèque numérique Manioc

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Titre Classe
La Montagne Pelée et l'effroyable destruction de Saint-Pierre (Martinique) le 8 mai 1902 : le brusque réveil du volcan en 1929 Texte